Anciens / Past Korrigans

Qu'ils soient nés chez nous ou aient été adoptés, qu'ils soient standards (S) ou non standards (NS), ces quelques chats ont marqué l'histoire de la chatterie Korrigan. Nous avons une pensée particulière pour tous ceux qui sont morts à notre domicile et espérons que les autres vivent la meilleure vie possible.

Quelques souvenirs

Korrigan Schtroumpf : bébé, il se couchait dans les trousses à crayons sur les bureaux.
Aquarelle of Korrigan : elle mangeait des sucettes et ouvraient toutes les portes. Un jour, une voisine est venue chez nous pour nous la voler. Heureusement, nous avons pu la reprendre.
Korrigan Joséphine : excellente en agility, Joséphine savait franchir une poutre longue de deux mètres et large de trois centimètres sans tomber. Elle adorait faire des bisous quand elle faisait des câlins.
Korrigan Bécassine : comme sa mère, elle mangeait des sucettes et comme sa sœur, aimait particulièrement les bisous.
Korrigan Can I : grande chasseuse, Can I est devenue la maîtresse incontestée du jardin de sa nouvelle propriétaire, en France, jusqu'à son décès. Korrigan Kara-Neige est venue sceller un nouveau pacte d'amitié entre nos deux familles.
Korrigan Pinouche, Bidulle et Bagatelle : tous les trois se couchaient sur le clavier tant plus jeunes. Jusqu'à la fin, Pinouche a eu un faible pour les chaises de bureau, l'arrière de l'ordinateur ou le tapis de souris.
Korrigan Lolita : aux derniers jours de sa vie, Lolita avait pris l'habitude de se coucher sur mon visage la nuit.
Korrigan Betty Boop : surnommée la « Princesse aux petits pois » en référence au conte traditionnel, Betty Boop cherchait en général le coussin le plus moelleux pour se coucher. Un empilement de plusieurs couvertures avait sa préférence.
Korrigan Pongo : Pongo n'a jamais été un mâle dominant, c'était même plutôt l'inverse. Il avait une voix de femelle et est resté toute sa vie aussi joueur et affectueux qu'un chaton. Nous l'avions surnommé « Pouac Pouac » à cause de son miaulement atypique.
Korrigan Schtroumpfette : il s'agissait d'une chatte très bavarde qui ne miaulait pas : elle cancanait plutôt à qui mieux mieux.
Lorsque nous avions plusieurs femelles en même temps, il n'était pas rare qu'elles se couchent toutes au même endroit - et de préférence sur les genoux de la même personne. Elles se déplaçaient également en meute dans la maison, bavardant les unes avec les autres sans arrêt.
En cas de bagarre, les femelles se battaient toutes ensemble, surtout lorsqu'il s'agissait d'attaquer un mâle. Elles attaquaient alors à tour de rôle en pique éclair qui ne laissaient aucun répit à leur pauvre victime.